Djamel Bendjaballah, tué par un militant identitaire à Dunkerque : enquête sur un crime raciste passé sous silence
Le 31 août dernier, Jérôme D., pilier de la Brigade française patriote, un groupuscule d’ultradroite, percutait, au volant de sa voiture, Djamel Bendjaballah, un éducateur de 43 ans. En dépit des multiples plaintes pour « injure non publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion » déposées par la victime, l’instruction ouverte pour « homicide volontaire » ne retient pas, pour l’heure, le motif raciste comme circonstance aggravante.
Le 31 août dernier, Jérôme D., pilier de la Brigade française patriote, un groupuscule d’ultradroite, percutait, au volant de sa voiture, Djamel Bendjaballah, un éducateur de 43 ans. En dépit des multiples plaintes pour « injure non publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion » déposées par la victime, l’instruction ouverte pour « homicide volontaire » ne retient pas, pour l’heure, le motif raciste comme circonstance aggravante.