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"Julie se tait", "Élève libre", "Terre battue" : le court de tennis, terrain de choix pour le cinéma ?
Dans « Julie se tait », au cinéma à partir du mercredi 29 janvier, le cinéaste belge Leonardo van Dijl raconte l’histoire dérangeante d’une jeune joueuse de tennis qui subit l’influence néfaste de son entraîneur. Avant lui, d’autres réalisateurs, s’inspirant d’histoires vraies ou privilégiant l’imagination, ont tiré le meilleur parti dramaturgique de ce qui se jouait sur les courts et dans les vestiaires.
Dans « Julie se tait », au cinéma à partir du mercredi 29 janvier, le cinéaste belge Leonardo van Dijl raconte l’histoire dérangeante d’une jeune joueuse de tennis qui subit l’influence néfaste de son entraîneur. Avant lui, d’autres réalisateurs, s’inspirant d’histoires vraies ou privilégiant l’imagination, ont tiré le meilleur parti dramaturgique de ce qui se jouait sur les courts et dans les vestiaires.
